Grâce à ces échanges, les partenaires de développement aident les pays à refinancer leur dette à moindre coût, et les gouvernements s’engagent à utiliser les économies réalisées pour des initiatives liées aux ODD. Bien qu’elles ne soient pas une solution miracle, les transactions D4D intéressent de plus en plus les décideurs politiques, les institutions internationales et la société civile, notamment grâce aux accords de 2021 et 2022. Malgré ces progrès, les conversions restent complexes et doivent être simplifiées. Ce papier souligne l’importance de simplifier les processus, de normaliser les pratiques et émet des recommandations notamment pour améliorer la transparence des données.
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